Plusieurs parents bien intentionnés choisissent des préparations sans lait ou à base de soya pour alimenter leur nourrisson.
Est-ce réellement un bon choix? Existe-t-il une meilleure solution?
Voici quelques faits à propos du soya et de certaines préparations à base de soya.
- De nombreuses toxines se forment pendant la transformation du soya, dont des nitrates (substance cancérigène) et de la lysinoalanine (une toxine).
- Les préparations sans lait ou à base de soya contiennent une quantité élevée de fluorure et jusqu’à 10 fois plus d’aluminium que celles à base de lait
- Des rats ayant été alimentés avec des préparations à base d’isolat de protéines de soya ont développé une carence en calcium, en magnésium, en manganèse, en molybdène, en cuivre, en fer et en zinc en plus d’avoir besoin d’une plus grande quantité de vitamines E, K, D et B12.
- Chez l’humain, les phyto-oestrogènes (oestrogènes de soya ou isoflavones) sont associés à la perturbation du système endocrinien, du système immunitaire et de la glande thyroïde.
- Des problèmes de reproduction, d’infertilité, de foie et de thyroïde ont été observés chez plus de 8 espèces d’animaux ayant reçu une alimentation contenant des phyto-oestrogènes.
- Les enfants nourris avec des préparations à base de soya affichent des niveaux d’oestrogènes de 13 000 à 22 000 fois plus élevés que ceux nourris avec des préparations à base de lait.
- Un développement prématuré des seins et des poils pubiens a été observé chez des fillettes de 3 à 8 ans qui avaient été nourris avec des formules à base de soya lorsqu’elles étaient bébé.
- La testostérone néonatale a été réduite de 70% chez les singes nourris au soya.
- Le lait maternel est très riche en cholestérol, ce qui est primordial pour le développement du nourrisson, alors que les formules à base de soya ne contiennent aucun cholestérol.
- Le lait maternel contient moins de 20 microgrammes d’aluminium par litre. Le lait de vache en contient 10 à 20 fois plus alors que les préparations à base de soya contiennent 100 fois plus d’aluminium que le lait maternel.
- Des études ont démontré que 2 fois plus d’enfants nourris avec une formule à base de soya avaient développé un diabète comparativement à ceux nourris avec une formule à base de lait.
- Des souriceaux à qui on avait injecté de la génistéine (un oestrogène de soya) ont développé un cancer de l’utérus plus tard dans leur vie.
L’allaitement maternel semble demeurer le meilleur choix pour nourrir les nouveau-nés. Selon la « Ad Council », les bébés qui sont allaités pendant au moins 6 mois auraient moins de chances de développer des allergies, de l’asthme et certains types de cancers.
À défaut de pouvoir allaiter, le lait de chèvre est celui qui se rapproche le plus du lait maternel. Finalement, le lait de vache biologique (3,8%) serait également une solution intéressante.